Synopsis du tome :
Shôko, une lycéenne, fait régulièrement un rêve étrange durant lequel une pomme dorée ensanglantée l’appelle. Mais elle est surtout très inquiète pour sa sœur Kyôko, dont elle n’a plus de nouvelles depuis qu’elle a intégré un programme spécial de la fondation Grad. Elle compte bien approcher Saori, la directrice de la fondation, pour avoir des nouvelles de Kyôko.
Je dois l’avouer, je ne suis pas un grand fan de Saint Seiya, je connais la série animée pour l’avoir regardée à l’époque du Club Dorothée, mais mon affection pour cette œuvre s'apparente plus à une nostalgie de l’époque. J'ai donc lu ce premier tome principalement parce qu’il était gratuit sur Izneo.
Je vais tout de suite répondre à une interrogation que j’avais envers le manga : pourquoi ne portent-elles pas de masques ? Et c'est simple, ce sont des Saintia, servantes d'Athena, pouvant conserver leur féminité contrairement aux chevaliers.
En ce qui concerne le tome en lui-même, il sert principalement à la mise en place de l'intrigue et à découvrir la raison pour laquelle Shôko se lancera dans le combat.
Le manga est loin d’être désagréable à lire, les dessins sont soignés, avec un bon découpage de l’action et un peu de ecchi (habillez un peu les ennemis, la prochaine fois, par contre).
Une chose est sûre, ce premier tome donne envie de suivre Shôko dans sa quête.