Wouhouhou ! Ce soir c'est la première bûche ! Un bel instant de partage pour chacun et le moment d'ouvrir la dernière case du calendrier de l'avent !!
Pour marquer le coup, on a choisi de vous présenter une oeuvre que chaque membre de l'équipe Icotaku a particulièrement appréciée en 2019 !!
C'est parti pour le florilège !
Le coup de cœur de neoffreeman : Epic Seven
Vous l'avez deviné si vous traînez sur notre discord puisque j'en parle beaucoup trop dessus, mon coup de cœur 2019 n'est autre que le jeu smartphone coréen,
Epic Seven développé par
Smilegate Megaport.
Je l'ai découvert cet été grâce aux publicités sur Instagram. J'ai tout de suite accroché au
chara-design des personnages très bien mis en valeur par les animations de leurs attaques spéciales. Le gros plus, le jeu est entièrement traduit en français et l'histoire s’avère très intéressante à suivre ! Les
événements réguliers et les quêtes annexes permettent aussi de développer le lore de l'univers !
Le jeu est bien équilibré et si il y a un
côté pay to win, je ne l'ai pas encore ressenti, d'ailleurs je trouve le prix des éléments proposaient avec de l'argent réel beaucoup trop élevés pour ce qu'ils apportent, ce qui dissuade de sortir le porte-monnaie.
Bien sûr tout n'est pas parfait et les premières parties peuvent être assez perturbantes car le contenu est vaste pour seulement un an de vie. Je vous conseillerai de
finir les missions d’apprentissage du jeu avant de vous acharner dans les invocations. Je vous invite également à
venir sur notre Discord pour avoir un peu d'aide ! On est plusieurs joueurs dessus et on et tous bienveillants (et comme moi, venez détester Shadd, qui a beaucoup a trop de chance au gatcha) !
Après 6 mois, je suis toujours autant obnubilé par ce jeu, je suis même en train d'y jouer tout en écrivant ces lignes. Donc je ne peux que vous invitez à venir y jeter un œil. De plus, il y a un magnifique
Event de Noël en cours ! À la prochaine sur EPIC SEVEN !
Kono Oto Tomare peut se traduire "Arrêtez ce bruit !"... En voilà un titre étrange pour une
série musicale.
Nous suivons Chika, un lycéen avec une très mauvaise réputation souhaitant entrer dans le club de koto de son lycée, en perdition. Il rencontre Takezo, le président du club souffrant d'un grand manque de confiance en lui et Satowa, une prodige de cet instrument, issue d'une célèbre école de koto. Le koto est un instrument de
musique traditionnelle japonais, se rapprochant de la harpe.
Sous ses airs de série scolaire classique avec des poncifs vus et revus (club au bord de la fermeture, prodige qui ne veut pas se mélanger...), la série se démarque par le
traitement de ses personnages principaux, troublés par le regard des autres et, parfois, leurs propres appréhensions. Ce n’est que grâce à leur
persévérance et à toute l’énergie qu’ils insuffleront dans leur musique qu'ils feront comprendre à leur entourage la profondeur de leur sentiment et la beauté de leur cœur.
Chaque membre du club a le droit à son développement narratif, pour qu'ils puissent accepter leurs forces et leurs faiblesses.
Et que dire de la musique... le son du koto est très bien mis en valeur : chaque école concurrente a
sa propre signature musicale, et ça prend aux tripes.
Ne vous arrêtez pas à son thème peu orthodoxe ou au synopsis stéréotypé et
foncez regarder cette série ! Laissez-vous porter par ce groupe de lycéens
débordant de motivation et d’amour pour leur art !
Le coup de cœur de Taikawa : Trails of Cold Steel
Plusieurs séries animées ou mangas m'ont marqués cette année, mais je vais plutôt parler de
jeux vidéo avec la saga The Legend of Heroes : Trails of Cold Steel que j'ai découvert cette année sur Playstation 4. Il y a d'abord eu les versions remasterisées des deux premiers opus lors du premier semestre de l'année. Vu qu'ils sont originellement de jeux PS3 et PS Vita, soyons sincères, c'est moche. Mais au delà du design, la saga nous offre des
personnages attachants, dont les histoires personnelles et les évolutions sont intéressantes. Si l'on ajoute à cela un
scénario plein de surprises, on a des jeux complets à découvrir. Le
gameplay de ces RPGs est une grande réussite et l'on ne s'ennuie pas ! Même si, il faut le dire, le contexte scolaire nous offre plusieurs clichés dont on se serait bien passé. Toutefois, pour ces deux premiers opus, il faut comprendre l'anglais, car ils ne sont pas traduits en français. De bons jeux mais, soyons honnête, s'il n'y avait pas eu ce troisième volet, j'aurais parlé d'autre chose.
Ce qui a fait que Trails of Cold Steel m'a tant marqué en 2019, c'est son troisième opus sorti en octobre, qui s'offre en plus le luxe
d'une traduction dans la langue de Molière. La langue maternelle aidant, on s'immerge beaucoup plus facilement dans le jeu. Cette fois-ci, les graphismes sont
plus agréable à l'œil, puisqu'il ne s'agit pas d'un remaster, même si l'on n'est toujours pas dans les standards de la PS4. Le gameplay est assez similaire et reste donc très bon. Ce qui change sur cet opus, c'est l'
ellipse de quelques mois, et l'introduction de
nouveaux personnages. Ils sont eux aussi bien écrits et sont incorporés dans un scénario passionnant. Si j'avais simplement apprécié les deux premiers jeux, j'ai
adoré le troisième ! Attention toutefois, il faut avoir du temps à consacrer à cette saga puisque chaque jeu dure environ
70 heures et il faut être honnête, le premier ressemble plus à un long prologue. Il faut donc accrocher à l'univers et au gameplay, mais une fois qu'on est dedans,
difficile de lâcher sa manette ! Surtout quand le Trails of Cold Steel III vient nous récompenser en nous offrant
le meilleur de la franchise ! L'intrigue est loin d'être terminée et nous retrouverons nos héros dans un quatrième et dernier jeu qui espérons-le, ne tardera pas trop à arriver dans nos contrées.
Le coup de cœur de RedRubble : Stay Gold
Les Nakayama
ne sont pas une "famille" comme les autres : suite au départ injustifié de leur mère, Hayato et sa petite sœur Kikka vivent avec leurs jeunes oncles Yûji et Kô depuis plusieurs années, sans pour autant être liés à eux par le sang. Mais ce foyer déjà peu stable devient chaotique lorsque Hayato
fait une déclaration d'amour à Yûji et l'embrasse ! C'est le début de beaucoup de questionnements sur leurs sentiments et sur ce que représente pour eux la notion de famille, entre conflits et tourments de l'adolescence...
Des
personnages attachants et développés avec pertinence, une narration bien découpée et présentée de plusieurs points de vue, un
trait fin et émotif teinté d'une certaine nonchalance... Si tous les ingrédients sont réunis pour créer une bonne série, elle a su devenir mon coup de cœur par sa thématique et les questionnements qu'elle soulève. Bien que le synopsis puisse laisser sceptique au premier abord, le scénario va en réalité traiter avec beaucoup de justesse la problématique de la
limite entre amour familial et romantique, comme on pouvait l'attendre de la mangaka. La série comporte une grande part de
tranche de vie tournant autour du quotidien des quatre protagonistes et des
tourments liés à l'adolescence, tout en se permettant d'esquisser des problèmes familiaux beaucoup plus
profonds et dramatiques. Au vu de la différence d'âge des personnages, j'appréhendais l'évolution de leur relation... Mais Hideyoshico a finalement su faire preuve de beaucoup de
subtilité et de retenue dans le traitement de leurs sentiments. Bref, si je ne devais garder de 2019 qu'une seule série, ce serait sans hésiter Stay Gold !
L’amour est un sentiment complexe qui affecte beaucoup de monde,
dont les deux protagonistes de Kaguya-Sama : Love is War qui sont à la tête du BDE de l’académie Shûchiin, les dénommés Kaguya et Miyuki. Cependant, ce sentiment est signe de
guerre et de rivalité pour eux : le premier qui se déclare à l’autre est perçu comme le perdant.
C’est dans cette atmosphère où toutes les tactiques sont permises que nous assistons à des
duels enflammés ! Kaguya-Sama : Love is War est un anime
haut en couleurs par ses
gags hilarants qui s'enchaînent au fil des épisodes et surtout un opening et des endings très motivants.
Ce fut pour moi l'un de mes coups de cœur de 2019, surtout que je n'étais pas tellement attirée par celui-ci avant mon visionnage...
il vaut clairement le détour ! Mis à part son humour décalé, ce qui m'a vraiment marquée est la mise en valeur des personnages secondaires : je me suis énormément prise d'affection pour le
personnage de Chika !!!
« Les enfants de la mer » est sans conteste l’œuvre qui m’a le plus marqué cette année. Cela est principalement dû à sa
prestation technique hors-norme qui découle de 5 années de production par une talentueuse équipe au sein de « Studio 4°C ». La direction artistique à une identité propre, la mise en scène soignée, l’
animation tout simplement incroyable et la bande son est constamment en symbiose avec le propos du film.
En revanche, je ne peux pas chanter les louanges de la trame scénaristique plutôt anecdotique et de la narration qui balaye de la main tout
le symbolisme que l’œuvre tente de communiquer à cause de dialogues et monologues malvenus et rébarbatifs, tentant d’expliquer de façon approximative des concepts métaphysiques vus et revus. Malgré cela, ce film reste une
véritable claque audiovisuelle (surtout au cinéma) qui vaut clairement le détour et dont
il faut faire l’expérience au moins une fois.
Plop ! C'est donc sans grande surprise pour ceux qui me connaissent un peu que mon coup de cœur de cette année n'est autre que "Senki Zesshou Symphogear XV",
cinquième saison de la licence, surnommée "Symphogear XV" parce que on va pas s'embêter à prononcer ou écrire ce joli nom.
Sur ce, parlons-en un peu. Portée maintenant depuis plus de
sept ans par le studio Satelight, l'animation de la série est
excellente avec des couleur bien vives et des
belles scènes de combat. Mention spéciale aux
scènes de transformation qui sont magnifiques dans tous les sens du terme. Côté bande-son, elle reste plutôt banale et est couverte par les
chansons des personnages qu'on entend pendant les combats et qui font pour moi le charme de la série. Et celles-ci ne sont pas juste des OST mises en fond mais des
chansons rechantées (en partie ou entières) pendant le doublage par les seiyuu. Le cast est aussi un bon point de la série avec des voix que vous connaissez certainement. J'ai aussi beaucoup aimé le fait que certains
éléments semés au fil des saison prennent tout leur sens et donnent un sentiment de mieux comprendre la série grâce à ce cinquième volet. Cette saison et cette licence est pour moi un
coup de cœur absolu depuis plusieurs années et je vous recommande vivement de vous y essayer.
Deux jeunes femmes, deux destins, une passion :
la musique. Dans une monde où la plupart des morceaux sont composés par des intelligences artificielles qui se veulent toujours plus accrocheurs, Carole et Tuesday vont déclencher des
vagues d'émotions qu'elles-mêmes ne pensaient pas pouvoir déclencher. Complémentaires, sensibles, elles tentent d'affronter la vie en cachant leurs secrets et en cherchant leur voie...
au travers de la musique.
Carole & Tuesday réunit toutes les qualités pour provoquer un coup de cœur chez moi : une
animation magnifique, un chara-design très marqué et reconnaissable, un univers qui lui est propre et, surtout, une
OST à tomber par terre. Tous les morceaux collent parfaitement à la personnalité des filles. On a ainsi des frissons dès leur premier duo et on se surprend à aimer ceux qui sont clairement des titres pour vendre. En bref, un anime
science-fiction porté sur la musique, sur la liberté et sur l'importance de savoir
transmettre des émotions aux autres !
Voilà pour l'équipe ! Vous les partagez ? Racontez-nous quels sont les vôtres en commentaire ! :)
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