Après
Ritournelle en novembre 2015, les éditions
Komikku annonce le retour d'
IKEBE Aoi dans leur collection
Horizon avec un nouveau-shot intitulé
Au fil de l'eau et qui paraîtra dès le mois de mars prochain. Dans ce bourg où l’eau ne coule plus, la vie continue à suivre son bonhomme de chemin. On y croise des ouvriers, des jeunes écoliers, du personnel de mairie… et une vieille dame qui accompagnera le récit, ses allégories et ses multiples lectures potentielles. Au travers de ce doux volume, vies, envies, souvenirs, rêves et destinées se côtoient, se croisent, se mêlent et tissent les relations humaines tout en finesse.
Ce nouveau one-shot grand format d’
IKEBE Aoi, primé au
Japan Media Arts Festival pour ses qualités indéniables et sa portée universelle, on retrouve dans
Au fil de l’eau le trait fin et délicat, les non-dits et la narration douce qui font tout le sel de l’auteur. Il est des conteurs rares qui nous cajolent titre après titre.
IKEBE Aoi fait incontestablement partie de cette catégorie. Avec cette nouvelle bande dessinée, la mangaka nous montre une nouvelle fois son talent indéniable pour les tranches de vie simples, sensibles et incroyablement justes. À travers les rêveries et les derniers jours d’une femme, elle nous déroule le fil de la vie, des rêves et des regrets, des fantasmes et de la réalité…
Le one-shot a été pré-publié dans le magazine
Elegance Eve de l'éditeur japonais
Akita Shoten entre 2012 et 2013, il paraîtra le
17 mars 2016 en France dans la collection
Horizon des éditions
Komikku au prix de 16€.
Synopsis :
Où que nous vivions, d'où que nous soyons... nous avons tous le droit de rêver. Rêver de devenir astronaute ou pilote, se voir en chef d'orchestre, rêver de faire des repas somptueux, de vivre dans un milieu distingué.
Pour une vieille dame, les souvenirs du bonheur de l'enfance se calquent sur l'univers occidental très lointain des filles du Docteur March et autres romans pour jeunes filles.
Dans le bas de la ville, un quartier défavorisé, une rivière polluée stagne, comme un passé qu'on voudrait oublier. Mais ses habitants aussi ont le droit de rêver, et les rêves parfois se croisent...
Il y a des bonheurs qui traversent notre vie sans qu’on s’en doute.