En plus de
6000 qui paraîtra le 15 janvier, les éditions
Komikku annoncent la sortie le 29 janvier du one-shot sensible et rude
Snow Illusion (Yukionna Gensō - Michiyuki-hen) de ANDŌ Icori, où nous suivrons Yuki dans sa quête d'amour...
Tout va très vite : par hasard, Susumu rencontre Yuki, tombe amoureux et se marie. Ils habitent ensemble et Yuki est vite intégrée dans ce village où tous les habitants se connaissent… Enfin, c’est ce que tout le monde croit, mais de toute évidence les rumeurs vont bon train et la vérité semble bien plus complexe ! Apparue aussi fugacement que quelques flocons de neige à l’automne, Yuki est une femme mystérieuse qui malgré tous ses efforts fait souffrir les hommes qu’elle rencontre. Elle est pourtant attentionnée, intelligente et amoureuse, mais le destin finit toujours par se répéter… Un amour, une disparition…
Certaines femmes mènent une vie errante, un voyage en quête d'un amour absolu… Yuki fait partie de celles-là. Telle une légende urbaine vivace mais fragile, c’est au travers de cette femme singulière qu’Icori Ando tisse intelligemment son histoire entre réalisme et imaginaire. Empreinte d’une force narrative évidente, cette bande dessinée mélancolique est ancrée dans la réalité mais portée par le surnaturel. Au-delà de ses aspects fantastiques, ce one-shot au trait gracieux et aérien nous parle de ce qui lie tous les êtres humains : l’amour. Loin de chercher la facilité, la mangaka travaille l’allégorie à bras le corps pour dépeindre les relations humaines.
Le one-shot a été pré-publié dans le magazine
Feel Young de l'éditeur japonais
Shōdensha en 2013, il paraîtra le
29 janvier 2015 en France aux éditions
Komikku.
Synopsis :
“On a dit qu’elle n’était peut-être pas humaine…”
Dans une ville au bord de la mer, Susumu croise une femme venue d’on ne sait où.
Son nom est Yuki.
Elle est belle, travailleuse.
Susumu l’épouse.
Leur vie ressemble au bonheur...
Jusqu’au jour où un autre homme sème le doute dans leur couple !
“Je cherche juste un homme avec lequel je pourrais vivre toute ma vie…”