Après un teasing très évident,
Black Box a annoncé ce matin sa troisième licence après
Parasite et
Hybrid Child, il s'agit donc sans surprise de l'adaptation animée de
Dungeon ni Deai wo Motomeru no wa Machigatteiru Darō ka (
Is It Wrong to Try to Pick Up Girls in a Dungeon?) ou plus simplement
DanMachi que
Viewster avait diffusé en simulcast en avril dernier, les épisodes sont d'ailleurs toujours
visionnnable gratuitement ! L'éditeur a fait l'acquisition des droits vidéo et TV pour une sortie en DVD et Blu-Ray d'ici minimum 2016.
La série a été produite par le studio
J.C. STAFF avec
YAMAKAWA Yoshiki (
Little Busters!,
Kill Me Baby) en tant que réalisateur,
SHIRANE Hideki (
Yumekui Merry,
Date A Live) s'est occupé de la structure scénaristique de la série, le design des personnages a été fait par
KIMOTO Shigeki et les musiques ont été composées par
INAI Keiji (
BTOOOM!,
Outbreak Company).
La série est l'adaptation des
light novel écrits par
ŌMORI Fujino et illustrés par
YASUDA Suzuhito qui sont publiés chez l'éditeur japonais
Softbank Creative/GA Bunko depuis 2012 et qui comptent bientôt 9 tomes, un
spin-off et
plusieurs manga ont aussi vu le jour, ces œuvres sont en revanche indisponibles en France pour le moment.
Synopsis :
Dans la ville d'Orario, nombreux aventuriers intrépides partent à la conquête du sombre labyrinthe sous-terrain nommé Dungeon à la recherche de gloire et de fortune. Mais alors que la richesse et la renommée promise est suffisante pour insister à l'exploration du Dungeon, Bell Cranel, qui pourrait devenir un héros extraordinaire, a des plans bien plus important : Il veut draguer des filles !
Est-ce mal de faire face aux périls du Dungeon seul, dans une guilde d'un seul membre béni par une déesse oubliée ? Peut-être. Est ce mal de rêver de jouer au héros sauvant de malheureuses princesses sans défense dans le Dungeon ? Peut-être pas.
Après une aventure malencontreuse, Bell découvre rapidement que tout peut arriver dans les labyrinthes même des rencontres fortuites avec de belles jeunes femmes. Le seul problème ? Il est celui qui finit par devenir la demoiselle en détresse !